Yo, écoute ça ! Le boss de Meta, Mark Zuckerberg, il a balancé un truc de ouf : Llama 3.1, un modèle d’IA open source qui déchire autant que GPT-4o. Y’a trois versions : une à 8 milliards de paramètres, une autre à 70 milliards, et la plus balèze à 405 milliards. Meta a sorti l’artillerie lourde pour entraîner ce monstre avec 16 000 GPU H100 de Nvidia, c’est pas du pipi de chat !
Zuckerberg, il veut mettre une grosse claque à Apple et ses trucs fermés. Il dit que les IA open source, c’est l’avenir, comme Linux qui a tout pété dans le cloud et sur les mobiles. En gros, il veut que tout le monde puisse kiffer des services de ouf sans se faire bloquer par des règles bidon.
Meta, ils se foutent des thunes que ça coûte, ils balancent Llama gratos pour la commu. Ils ont déjà 25 partenaires dans le game, genre Nvidia, Amazon Web Services, Google Cloud, et même la SNCF. Ouais, la SNCF teste Llama 3.1 pour causer en plusieurs langues avec les voyageurs, et ils ont même un chatbot WhatsApp pour filer des infos en temps réel.
Par contre, Meta reste discret sur les données d’entraînement, c’est top secret. Ils disent juste qu’ils utilisent des « données synthétiques » générées par un modèle, pas par des humains. Ça évite les embrouilles de procès, mais bon, on verra bien.
En plus, Meta a lancé une version multilingue de son assistant Meta AI, dispo dans 22 nouveaux pays, mais toujours pas en Europe. Dommage pour nous, mais c’est comme ça.
Bref, Meta envoie du lourd avec Llama 3.1, et ça promet du sale pour l’avenir de l’IA open source !