Il y a quelques jours, une ancienne chercheuse d’OpenAI aurait révélé que la direction de l’organisation avait un plan bien ficelé pour financer et vendre une intelligence artificielle générale (AGI) en provoquant une guerre des enchères entre les gouvernements des États-Unis, de la Chine et de la Russie. Cette information, relayée sur X, a suscité de vives réactions dans la communauté de l’IA et a mis en lumière les enjeux éthiques et politiques liés au développement de telles technologies.
Selon la chercheuse, qui a préféré rester anonyme pour des raisons de sécurité, OpenAI aurait secrètement planifié de positionner l’AGI comme un produit attractif pour les grandes puissances mondiales, en espérant susciter un intérêt financier massif. Cette stratégie visait à créer une concurrence féroce entre les gouvernements, les incitant à investir des sommes colossales pour obtenir cette technologie révolutionnaire.
Pour mieux comprendre la stratégie mise en place par OpenAI, il convient d’examiner les étapes qui auraient été suivies pour atteindre cet objectif ambitieux. Dans un premier temps, l’organisation aurait mis en place une équipe dédiée à la conception et au développement de l’AGI, en veillant à ce que les progrès réalisés restent confidentiels et ne soient pas divulgués publiquement. En parallèle, des discussions stratégiques auraient eu lieu en interne pour définir la meilleure approche pour commercialiser cette technologie auprès des gouvernements intéressés.
Une fois l’AGI développée et fonctionnelle, OpenAI aurait lancé une campagne de communication ciblée pour attirer l’attention des principales puissances mondiales. Des démonstrations de la technologie auraient été organisées pour mettre en avant ses capacités et son potentiel révolutionnaire. Parallèlement, des discussions confidentielles auraient été engagées avec les gouvernements des États-Unis, de la Chine et de la Russie pour évaluer leur intérêt et leur capacité à investir dans l’AGI.
L’objectif ultime aurait été de créer une sorte de compétition entre ces pays pour s’assurer que le prix de vente de l’AGI atteigne des niveaux stratosphériques. En encourageant une surenchère entre les gouvernements, OpenAI aurait visé à maximiser ses profits et à renforcer sa position sur le marché de l’intelligence artificielle. Cette approche financière ambitieuse aurait permis à l’organisation de consolider sa réputation en tant que leader mondial de l’IA et d’accroître sa visibilité auprès des investisseurs et des acteurs clés du secteur.
Cette révélation met en lumière les défis éthiques et politiques auxquels est confronté le secteur de l’IA, notamment en ce qui concerne la régulation et la gouvernance des technologies émergentes. L’idée de mettre en concurrence des gouvernements pour l’obtention d’une technologie aussi puissante que l’AGI soulève des questions essentielles sur la sécurité et la confidentialité des données, ainsi que sur l’équilibre des pouvoirs à l’échelle mondiale.