
- Un Final Controversé : Le film Joker: Folie à Deux a suscité des débats avec un dénouement inattendu qui aurait presque été similaire à une idée abandonnée du premier Joker.
- Le Poids de Christopher Nolan : L’ombre de Christopher Nolan flotte sur cette saga, ayant supposedly influencé le script du premier film pour éviter que le Joker d’Arthur ne soit marqué par cette célèbre cicatrice souriante.
- Une Traversée Émotionnelle : En explorant les choix narratifs des réalisateurs et leurs impacts possibles, cet article décortique les répercussions de ces décisions sur l’univers cinématographique DC.
Joker: Folie à Deux: une Conclusion qui fait parler d’elle
Accrochez-vous, mes amis, car il y a enfin quelque chose qui fait vibrer les fans : le film Joker: Folie à Deux n’a pas seulement défrayé la chronique à cause de son box-office décevant, mais aussi grâce à un final qui aurait pu être encore plus provocant. Selon les rumeurs, la fin du film aurait pu reprendre un concept abandonné de l’original Joker. Oui, vous avez bien lu ! Il suffirait d’une touche de Christopher Nolan pour cela. Alors, installez-vous confortablement, et laissez-moi vous raconter cette histoire croustillante.
Une Fin Menaçante
La fin de Joker: Folie à Deux nous plonge dans une atmosphère sombre et troublante. On y voit Arthur Fleck (Joaquin Phoenix) face à un destin tragique en prison. La tension est palpable lorsqu’il se fait poignarder par un camarade de cellule dans un éclat de rires qui rappelle la folie du Joker. Cet exploit macabre se termine avec le tueur se scarifiant le visage, façon à la Heath Ledger. Miam, n’est-ce pas ?
En effet, cette scène d’anthologie a véritablement saisi le public, mais saviez-vous que presque une version de cette terrible scène aurait pu se dérouler dans le premier film ?
Une Idée Écartée
Pour le Joker de 2019, l’idée d’Arthur se scarifiant le visage avait été initialement envisagée. L’image d’un Arthur en pleine révolte, affichant ce sourire macabre, aurait été une conclusion percutante au film. Les fans en seraient restés boulversés. Mais cette vision a été écartée. Qui a dit non ? Prenez une grande inspiration… c’est Christopher Nolan ! Il a décidé que seule la version de son Joker, joué par Heath Ledger dans The Dark Knight, devait conserver cette cicatrice emblématique. Un acte de loyauté presque diplomatique, mais qui a laissé sur la touche une idée brillantement dérangeante.
L’Influence Nola-Nienne
La relation entre Nolan et Warner Bros. a toujours été un peu… volatile. Au début, elle était forte comme un lion. Mais, après le fiasco de Tenet et la gestion chaotique de la sortie de films en streaming (une histoire que je ne vais pas relater… pour l’instant !), leur collaboration a pris un tournant sombre. En conséquence, quand Joker: Folie à Deux a été en préparation, Nolan n’était plus le patron invincible qu’il avait été autrefois. Un peu ironique, n’est-ce pas ? Peut-être que cela a construit le chemin vers cette fin ardente que nous avons maintenant.
Pourquoi tout ce bruit ?
Le fait qu’une idée abandonnée ait failli devenir une réalité mérite des discussions sur l’impact de la prise de décision dans l’univers cinématographique. Que se serait-il passé si Nolan avait cédé à cette idée ? Nos perceptions du Joker auraient-elles changé ? Les fans auraient-ils mieux accueilli cette nouvelle approche ? Voilà des questions qui résonnent et appellent à la réflexion.
Un Tableau Comparatif des Jokers
Version du Joker | Interprète | Cicatrice | Réception Critique | Impact Culturel |
---|---|---|---|---|
The Dark Knight | Heath Ledger | Oui | Exceptionnelle | Iconique |
Joker | Joaquin Phoenix | Non | Très positif | Réinvention Moderne |
Folie à Deux | Joaquin Phoenix | Oui | Mitigé | Débat Engagé |
La Couronne de la Folie
Ce tableau attire l’attention sur les nuances entre chaque film. La décision de Nolan d’éteindre l’idée de la cicatrice pour Arthur Fleck a créé une limite marquée entre les univers et les personnages. Mais en attendant, Arthur n’a pas eu besoin de cette cicatrice pour représenter sa tragédie. Son sourire désespéré suffira à hanter nos mémoires.
Conclusion
En définitive, que ce soit par des choix narratifs ou la gouvernance d’un réalisateur influent comme Nolan, le chemin du Joker dans le cinéma moderne sera toujours parsemé d’embuches. La folie, la tragédie et une dose de psychologie complexe s’entremêlent, nous laissant dans l’angoisse et la curiosité. Pour nous, fans et cinéphiles, la quête des récits inédits ne doit jamais s’arrêter.
Alors, quel Joker préférez-vous ? Celui qui a le sourire en coin ou celui qui bouscule les frontières de la folie ? Je vous laisse y réfléchir, mais rappelez-vous : chaque cicatrice raconte une histoire.